Lézard d'Halloween

Fanfare d'Halloween

A propos

Lorsque les cloches agogos sonnent les 12 coups de minuit, le vampire Pierre Tombale, qui est toujours à la recherche d’un bon cou, sort vite de sa caisse mortuaire et prend sa caisse claire.
 
Pendant ce temps dans la cuisine, le balai vole au secours de la pelle à poussière, tandis que Cruèl Ail lance son sortilège. « Oh dieu des tambours, par la force de la magie de la Batucada, je t’implore de transformer mon chaudron en surdo, abracadabra, marmitus, transformus, surdotus ! ».
 
L’explosion qui s’ensuivit Iit sursauter les fantômes Jeffrey et Mac Habre qui dormaient dans le grand lit à baldaquin l’un contre l’autre comme à leur habitude parce que, ne le répétez pas… ils ont peur du noir. A côté d’eux sur le sofa, Paul Tronc, le cavalier sans tête, s’étire et leur dit en langage des signes: « je viens de faire un rêve étrange. J’étais en 1789 sur l’échafaud et devinez quoi, le bourreau n’arrivait pas à me guillotiner ».
 
Le trio hilare descend le grand escalier pour arriver dans l’entrée. Toc, toc, toc ! Quelqu’un frappe à la porte du château « Hantééé ! » dit le vampire d’une voix d’outre tombe. Comme dans un Iilm d’épouvante, la porte s’ouvre lentement, très lentement, le bois craque, le son strident des gonds rend le suspense insoutenable… Surprise ! dit l’employé de la société « Cauchemardex » qui fait sursauter les hôtes terriIiés qui s’étaient réfugiés derrière la
porte. Il vient livrer le shaker en forme de tête de Frankenstein que Paul avait commandé sur la toile.
 
Paré à fêter dignement Halloween, tout ce petit monde prend ses percussions et sort de la maison.
 
Dans la rue, les squelettes Suzette et Georgette mettent les chaines à leur tandem et prennent la tête du funeste cortège.
Igor Billard, le Mestre de la Batucada « Lézard Tape », qui a horreur d’être en retard, les attend sur la grande place. Il s’est mis sur son 31 en se fendant d’un hachoir en guise de chapeau.
 
Ça y est l’équipe est au complet, la batucada entame une marche, qui n’a rien de funèbre, sur un tempo d’enfer. Les fantômes survolent les passants frissonnants. Les squelettes, tels les Claudettes, invitent le public à venir danser. Le rythme infernal fait monter la température, tout le monde s’est laissé emporter, chacun se retrouve comme envouté, ensorcelé…
 
N’ayez pas la (ci)trouille de nous engager ! Avec nous tous les chauves sourient et les autres seront morts de rire !

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